Les dossiers sinistres nécessitent beaucoup d’administration. Trop, si l’on en croit les courtiers. Et surtout des échanges fréquents entre eux et le client, le calcul des devis en incendie, les rappels aux tierces parties, et la collecte d’informations auprès de la partie adverse. Ce dernier point en particulier est source de beaucoup de travail et de casse-têtes pour les courtiers.

Avec l’aide de trois experts Keypoint, Fixico et Teledesk, nous avons discuté lors du workshop ‘Information Overload Sinistre’ de la manière de réduire cette surcharge d’informations et d’optimiser les processus.

Où commencent les problèmes ?

A l’occasion de la discussion préparatoire, les courtiers participants échangent leurs opinions avec les experts du domaine. Il en résulte une vue d’ensemble des problèmes les plus fréquents et des tâches qui prennent le plus de temps, ainsi que des solutions possibles :

Problème 1 : Déclarations peu claires et incomplètes en assurance auto

De nombreux constats d’accidents se révèlent peu clairs ou incomplets. Certains courtiers vont même jusqu’à remplir eux-mêmes, parce qu’elle est manquante, la déclaration de la partie adverse.

Constat : Crashform est peu utilisé

L’application Crashform n’est pas ou peu utilisée en cas d’accident. Et elle est donc peu maîtrisée. En outre la plupart des personnes, stressées par l’accident, n’arrivent pas à saisir les informations dans l’application.

Solution possible : CrashStickers

Les CrashStickers sont des autocollants contenant toutes les données administratives nécessaires pour remplir un constat d’accident : preneur d’assurance, véhicule, compagnie d’assurance et conducteur (habituel). Ces autocollants pourraient être une solution possible aux déclarations incomplètes.

Idée des courtiers : peut-être ces CrashStickers pourraient-ils être envoyés par Vivium ?

Problème 2 : déclaration sinistre incendie incomplète

En incendie, il est encore plus difficile d’obtenir des informations de la part de la partie adverse. Aucune solution spécifique n’a été trouvée immédiatement.

Problème 3 : trop de canaux de communication

WhatsApp Business est pratique pour recevoir des documents, mais malheureusement le courtier ne peut pas retrouver ensuite les documents qu’il a transmis à son client. C’est possible lorsque WhatsApp Business est utilisé sur l’ordinateur. Dans ce cas, les informations peuvent être facilement exportées vers l’ordinateur ou un workflow peut y être lié.

Malheureusement, dans Brio, il n’est pas possible de sélectionner le canal de communication préféré du client. Le courtier impose donc le canal à ses clients, WhatsApp, par exemple, n’est pas possible ici.

Conclusion

Les courtiers perdent beaucoup de temps à rassembler des informations. L’utilisation de CrashStickers, par exemple, pourrait déjà être utile pour les constats d’accidents, mais d’autres outils permettant de gérer le flux d’informations sont les bienvenus !